Blade Runner : Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?
de Philip K. Dick
Editions : J'ai lu
Sortie : 10 juin 2014
Format poche / 6€
de Philip K. Dick
Editions : J'ai lu
Sortie : 10 juin 2014
Format poche / 6€
Présentation de l'éditeur :
Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?
Le mouton n'était pas mal, avec sa laine et ses bêlements plus vrais que nature – les voisins n'y ont vu que du feu. Mais il arrive en fin de carrière : ses circuits fatigués ne maintiendront plus longtemps l'illusion de la vie. Il va falloir le remplacer. Pas par un autre simulacre, non, par un véritable animal. Deckard en rêve, seulement ce n'est pas avec les maigres primes que lui rapporte la chasse aux androïdes qu'il parviendra à mettre assez de côté. Holden, c'est lui qui récupère toujours les boulots les plus lucratifs – normal, c'est le meilleur. Mais ce coup-ci, ça n'a pas suffi. Face aux Nexus-6 de dernière génération, même Holden s'est fait avoir. Alors, quand on propose à Deckard de reprendre la mission, il serre les dents et signe. De toute façon, qu'a-t-il à perdre ?
Avis de Chani
Dans un futur post-apocalyptique très sombre où l’illusion de vie est donnée par des ersatz mécaniques, Rick Deckard est un Blade Runner, un agent chargé de réformer (comprenez éliminer) les androïdes venus sur Terre pour échapper à l’esclavage dans les colonies. Le lecteur va le suivre dans son quotidien et découvrir les questionnements et les rêves qui l’assaillent.
Blade Runner est un roman d’anticipation qui pose de nombreuses questions d’éthique et religieuses dans une ambiance très pessimiste. Ami dépressif passe ton chemin, même avec une pêche d’enfer boostée au Prozac, je suis ressortie de cette lecture le moral en berne. Ce futur lointain et pourtant si proche est loin d’être enthousiasmant. Ayant tout détruit, l’homme a essayé de recréer un semblant de sa vie « d’avant », notamment grâce à la robotique (d’où les fameux moutons électriques). Mais en même temps, il condamne la machine si elle ressemble trop à l’homme. Mais un robot capable d’émotions est-il toujours une machine, doit-on détruire ce que nous souhaitions finalement ? Ce court roman pose un certain nombre de questions sans apporter de réponse, mais fait réfléchir, d’autant que ce futur est loin d’être improbable.
Le mouton n'était pas mal, avec sa laine et ses bêlements plus vrais que nature – les voisins n'y ont vu que du feu. Mais il arrive en fin de carrière : ses circuits fatigués ne maintiendront plus longtemps l'illusion de la vie. Il va falloir le remplacer. Pas par un autre simulacre, non, par un véritable animal. Deckard en rêve, seulement ce n'est pas avec les maigres primes que lui rapporte la chasse aux androïdes qu'il parviendra à mettre assez de côté. Holden, c'est lui qui récupère toujours les boulots les plus lucratifs – normal, c'est le meilleur. Mais ce coup-ci, ça n'a pas suffi. Face aux Nexus-6 de dernière génération, même Holden s'est fait avoir. Alors, quand on propose à Deckard de reprendre la mission, il serre les dents et signe. De toute façon, qu'a-t-il à perdre ?
Avis de Chani
Dans un futur post-apocalyptique très sombre où l’illusion de vie est donnée par des ersatz mécaniques, Rick Deckard est un Blade Runner, un agent chargé de réformer (comprenez éliminer) les androïdes venus sur Terre pour échapper à l’esclavage dans les colonies. Le lecteur va le suivre dans son quotidien et découvrir les questionnements et les rêves qui l’assaillent.
Blade Runner est un roman d’anticipation qui pose de nombreuses questions d’éthique et religieuses dans une ambiance très pessimiste. Ami dépressif passe ton chemin, même avec une pêche d’enfer boostée au Prozac, je suis ressortie de cette lecture le moral en berne. Ce futur lointain et pourtant si proche est loin d’être enthousiasmant. Ayant tout détruit, l’homme a essayé de recréer un semblant de sa vie « d’avant », notamment grâce à la robotique (d’où les fameux moutons électriques). Mais en même temps, il condamne la machine si elle ressemble trop à l’homme. Mais un robot capable d’émotions est-il toujours une machine, doit-on détruire ce que nous souhaitions finalement ? Ce court roman pose un certain nombre de questions sans apporter de réponse, mais fait réfléchir, d’autant que ce futur est loin d’être improbable.
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