Daevabad,
Tome 1 : La Cité de Laiton
de S.A. Chakraborty
Éditions J'ai lu
Sortie le 22 juin 2022
Format poche / 704 pages / 9,90 €
de S.A. Chakraborty
Éditions J'ai lu
Sortie le 22 juin 2022
Format poche / 704 pages / 9,90 €
Présentation de l'éditeur :
Le Caire, XVIIIᵉ siècle. Dans le but de financer d'hypothétiques études de médecine, Nahri escroque sans vergogne les nobles ottomans, qui s'arrachent à prix d'or ses services prétendument magiques. Mais lors d'une de ses séances, elle invoque accidentellement un guerrier djinn, Dara, et déclenche une chaîne d'événements qui les conduira tous deux à quitter précipitamment Le Caire. Leur périple à travers les sables brûlants du désert, grouillants de créatures de feu et de rivières où dorment des êtres mythiques, a pour destination Daevabad, la légendaire Cité de Laiton...
L'avis de Vania :
La cité de laiton est un mélange de roman historique et fantastique oriental. L’intrigue se situe au 18ème siècle, au Caire, pendant la guerre napoléonienne. On est abreuvés d’informations et de noms qui ont réellement existé par le passé, mais là s’arrête la partie historique, car on plonge par la suite dans le folklore arabe avec, notamment, les très connus Djinns.
On commence par faire doucement connaissance avec notre héroïne, Nahri, qu’on découvre en tant que guérisseuse et escroqueuse ; choix de vie qu’elle a dû faire pour réussir à survivre dans la rue, seule et sans soutien. Je me suis vite prise d’affection pour Nahri qui est un personnage fort et perspicace, et elle a des ressources. Bien qu’ayant des pouvoirs surnaturels qu’elle doit cacher, elle n’hésite pas à s’en servir pour éblouir les plus crédules. Hélas, l’un de ses rituels, qu’elle jugeait jusque-là sans danger, tourne mal : un soir, elle se retrouve face à des goules meurtrières qui veulent sa peau. Toutefois, en même temps que ces êtres malveillants, elle a également invoqué un Djinn par mégarde, Dara, qui se retrouve à devoir lui sauver la peau pendant une quinzaine de chapitres. Dara est également un personnage très intéressant, au passé mystérieux – forcément – mais son côté grognon et rentre-dedans m’a plu. Malheureusement, tandis qu’il tente coûte que coûte de sauver la vie de notre héroïne, celle-ci fait sa forte tête et essaie par tous les moyens de s’échapper sans se rendre compte qu’elle coure un réel danger, et ceci pendant une dizaine de chapitres. C’est là que j’ai décroché… L’histoire a pourtant du potentiel, et je pense que si je m’étais accrochée, j’aurais pu replonger dedans et y prendre goût, mais ce n’était pas le moment pour moi.
On commence par faire doucement connaissance avec notre héroïne, Nahri, qu’on découvre en tant que guérisseuse et escroqueuse ; choix de vie qu’elle a dû faire pour réussir à survivre dans la rue, seule et sans soutien. Je me suis vite prise d’affection pour Nahri qui est un personnage fort et perspicace, et elle a des ressources. Bien qu’ayant des pouvoirs surnaturels qu’elle doit cacher, elle n’hésite pas à s’en servir pour éblouir les plus crédules. Hélas, l’un de ses rituels, qu’elle jugeait jusque-là sans danger, tourne mal : un soir, elle se retrouve face à des goules meurtrières qui veulent sa peau. Toutefois, en même temps que ces êtres malveillants, elle a également invoqué un Djinn par mégarde, Dara, qui se retrouve à devoir lui sauver la peau pendant une quinzaine de chapitres. Dara est également un personnage très intéressant, au passé mystérieux – forcément – mais son côté grognon et rentre-dedans m’a plu. Malheureusement, tandis qu’il tente coûte que coûte de sauver la vie de notre héroïne, celle-ci fait sa forte tête et essaie par tous les moyens de s’échapper sans se rendre compte qu’elle coure un réel danger, et ceci pendant une dizaine de chapitres. C’est là que j’ai décroché… L’histoire a pourtant du potentiel, et je pense que si je m’étais accrochée, j’aurais pu replonger dedans et y prendre goût, mais ce n’était pas le moment pour moi.
C’est néanmoins un roman de fantasy orientale très riche en personnages fantastiques et l’intrigue construite autours des êtres aux pouvoirs magiques et ceux dits « normaux » était prometteuse. Je pense réessayer de le lire plus tard, mais pour l’heure, je n’ai pas réussi à venir à bout de toutes ces longueurs.
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