La Mer sans étoiles
de Erin Morgenstern
Éditions Pocket
Sortie le 7 octobre 2021
Format poche / 768 pages / 9,00 €
Présentation de l'éditeur :
Dans la bibliothèque de son université, Zachary Ezra Rawlins trouve un livre mystérieux, sans titre ni auteur. Découvrant avec stupéfaction qu'une scène de son enfance y est décrite, il décide d'en savoir davantage. C'est le début d'une quête qui le mènera à un étrange labyrinthe souterrain, sur les rives de la mer sans Étoiles. Un monde merveilleux fait de tunnels tortueux, de cités perdues et d'histoires à préserver, quel qu'en soit le prix...
L'avis de Vania :
J’étais à la fois exaltée et apeurée de commencer cette lecture, le premier livre de l’auteure ayant été un énorme coup de cœur. Je savais en voyant ce roman que j’allais faire des comparaisons, peut-être en attendre trop et, au final, en être déçue. J’ai donc attendu, le temps de prendre du recul pour aborder cette lecture avec autant de neutralité que possible, même si ça reste difficile. Mais heureusement, la magie d’Erin Morgenstern a une nouvelle fois opéré. J’ai été transportée.
Ici, on suit le héros, Zachary Ezra Rawlins, jeune étudiant universitaire, féru de lecture et de jeux-vidéo qui « sait » sans vraiment savoir comment ni pourquoi qu’il y a forcément de l’« extra » dans l’ordinaire. Peut-être parce qu’il est le fils d’une voyante ou parce que la fiction lui a toujours parue plus cohérente que la réalité. Quoi qu’il en soit, il comprend que sa vie va changer le jour où il tombe sur un livre qui parle de lui. Lui et une anecdote de sa jeunesse qu’il avait oubliée, à laquelle personne n’avait assisté ; un événement surréaliste qu’il avait mis sur le compte de la fatigue. Et pourtant… ce livre qui ne porte ni référence ni code barre parle bien de lui. S’ensuit alors une enquête approfondie sur ce roman mystérieux et les points communs entre les différentes histoires qui y sont détaillées : des symboles qui reviennent encore et encore. Une clé. Une épée. Un cœur. Une couronne. Et une abeille. De là, Zachary va rencontrer un monde fourmillant de livres, d’histoires contées à travers les âges, oubliées ou interdites, jalousement gardées dans un lieu immense et magique nommé : la mer sans étoiles.
Mais le roman est bien plus complexe que la simple découverte d’un monde caché, l’autrice nous ballotte de conte en conte, semant çà et là des indices, des pièces de puzzle quitte à ce qu’on s’y perde parfois pour enfin tout réunir à la fin et nous éblouir. Là encore, son talent dingue se trouve dans sa capacité à nous en mettre plein les yeux avec un univers rocambolesque et illimité. Il n’y a jamais de limites dans ce que Erin Morgenstern nous raconte, ses mondes, aussi bien dans Le cirque des rêves que dans La mer sans étoiles regorgent toujours d’infinies possibilités. Et c’est ça qui me rend accro à sa plume. C’est une fois encore un coup de cœur pour moi et l’autrice se place dans la catégorie d’« auteur à suivre » sans modération.
Ici, on suit le héros, Zachary Ezra Rawlins, jeune étudiant universitaire, féru de lecture et de jeux-vidéo qui « sait » sans vraiment savoir comment ni pourquoi qu’il y a forcément de l’« extra » dans l’ordinaire. Peut-être parce qu’il est le fils d’une voyante ou parce que la fiction lui a toujours parue plus cohérente que la réalité. Quoi qu’il en soit, il comprend que sa vie va changer le jour où il tombe sur un livre qui parle de lui. Lui et une anecdote de sa jeunesse qu’il avait oubliée, à laquelle personne n’avait assisté ; un événement surréaliste qu’il avait mis sur le compte de la fatigue. Et pourtant… ce livre qui ne porte ni référence ni code barre parle bien de lui. S’ensuit alors une enquête approfondie sur ce roman mystérieux et les points communs entre les différentes histoires qui y sont détaillées : des symboles qui reviennent encore et encore. Une clé. Une épée. Un cœur. Une couronne. Et une abeille. De là, Zachary va rencontrer un monde fourmillant de livres, d’histoires contées à travers les âges, oubliées ou interdites, jalousement gardées dans un lieu immense et magique nommé : la mer sans étoiles.
Mais le roman est bien plus complexe que la simple découverte d’un monde caché, l’autrice nous ballotte de conte en conte, semant çà et là des indices, des pièces de puzzle quitte à ce qu’on s’y perde parfois pour enfin tout réunir à la fin et nous éblouir. Là encore, son talent dingue se trouve dans sa capacité à nous en mettre plein les yeux avec un univers rocambolesque et illimité. Il n’y a jamais de limites dans ce que Erin Morgenstern nous raconte, ses mondes, aussi bien dans Le cirque des rêves que dans La mer sans étoiles regorgent toujours d’infinies possibilités. Et c’est ça qui me rend accro à sa plume. C’est une fois encore un coup de cœur pour moi et l’autrice se place dans la catégorie d’« auteur à suivre » sans modération.
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