Un très gros changement
de Lauren Baratz-Logsted
Éditions Harlequin
Collection Red Dress Ink
Sortie le 1er novembre 2014
Format poche / 352 pages / Prix 5,49 €
de Lauren Baratz-Logsted
Éditions Harlequin
Collection Red Dress Ink
Sortie le 1er novembre 2014
Format poche / 352 pages / Prix 5,49 €
Présentation de l'éditeur :
« Enfin, Jane, tu as perdu la tête ? »
Voilà ce que tout le monde s’obstine à me répéter… sans avoir tout à fait tort. Car qui aurait pu croire que moi, Jane Taylor, réputée tête en l’air et dotée de la dose minimum d’esprit pratique, je me transformerais en mère responsable du jour au lendemain ? Responsable… Enfin, n’exagérons rien : je ne suis pas sûre que ma façon d’éduquer Emma – Emma étant ma fille, vous l’aurez compris — fera l’objet d’un reportage dans Parents Magazine, mais en tout cas, je prends mon nouveau rôle de maman très au sérieux ! Car figurez-vous que la maternité m’est un peu tombée dessus. Non pas que j’ignore la façon dont on fait les bébés (j’ai trente ans et un Q.I. normal, merci)… mais il se trouve que j’ai découvert Emma dans son petit couffin, abandonnée sur le parvis enneigée d’une église le soir de Noël. Bon d’accord, les nouveau-nés, je n’y connais pas grand-chose… mais je vous jure qu’Emma et moi, on est faites pour s’entendre !
L'avis de Chani
Le premier opus s’achevait par la découverte d’un nouveau-né dans un berceau par Jane, qui l’embarque avec elle, voyant ici la conclusion bien arrangeante à sa fausse grossesse. Baptisant la petite fille Emma, la jeune femme se voit déjà en mère responsable (elle est bien la seule). Sauf qu’entre la maternité rêvée et la réalité, il y a une marge.
Pour entrer dans le jeu de ce roman, il faut déjà accepter que Jane trouve un bébé dans un berceau et le garde, sans passer par la case police ou services sociaux. Dans les années 2000. Bien sûr. Mais, admettons. Peut-être qu’avoir la responsabilité d’un nouveau-né mettra du plomb dans la tête de la jeune femme, peut-être qu’elle prendra enfin des décisions justes et cohérentes, peut-être… Pas la peine de poursuivre, un bébé ne donne pas de maturité instantanée, ça se saurait. Jane est toujours aussi agaçante, aussi difficile à suivre et, sans compter les invraisemblances de l’intrigue, la jeune femme suffit, à elle seule, à faire perdre patience au lecteur au fil des pages. À réserver aux lecteurs qui aiment les intrigues rocambolesques et qui sont très indulgents avec les héroïnes immatures.
Voilà ce que tout le monde s’obstine à me répéter… sans avoir tout à fait tort. Car qui aurait pu croire que moi, Jane Taylor, réputée tête en l’air et dotée de la dose minimum d’esprit pratique, je me transformerais en mère responsable du jour au lendemain ? Responsable… Enfin, n’exagérons rien : je ne suis pas sûre que ma façon d’éduquer Emma – Emma étant ma fille, vous l’aurez compris — fera l’objet d’un reportage dans Parents Magazine, mais en tout cas, je prends mon nouveau rôle de maman très au sérieux ! Car figurez-vous que la maternité m’est un peu tombée dessus. Non pas que j’ignore la façon dont on fait les bébés (j’ai trente ans et un Q.I. normal, merci)… mais il se trouve que j’ai découvert Emma dans son petit couffin, abandonnée sur le parvis enneigée d’une église le soir de Noël. Bon d’accord, les nouveau-nés, je n’y connais pas grand-chose… mais je vous jure qu’Emma et moi, on est faites pour s’entendre !
L'avis de Chani
Le premier opus s’achevait par la découverte d’un nouveau-né dans un berceau par Jane, qui l’embarque avec elle, voyant ici la conclusion bien arrangeante à sa fausse grossesse. Baptisant la petite fille Emma, la jeune femme se voit déjà en mère responsable (elle est bien la seule). Sauf qu’entre la maternité rêvée et la réalité, il y a une marge.
Pour entrer dans le jeu de ce roman, il faut déjà accepter que Jane trouve un bébé dans un berceau et le garde, sans passer par la case police ou services sociaux. Dans les années 2000. Bien sûr. Mais, admettons. Peut-être qu’avoir la responsabilité d’un nouveau-né mettra du plomb dans la tête de la jeune femme, peut-être qu’elle prendra enfin des décisions justes et cohérentes, peut-être… Pas la peine de poursuivre, un bébé ne donne pas de maturité instantanée, ça se saurait. Jane est toujours aussi agaçante, aussi difficile à suivre et, sans compter les invraisemblances de l’intrigue, la jeune femme suffit, à elle seule, à faire perdre patience au lecteur au fil des pages. À réserver aux lecteurs qui aiment les intrigues rocambolesques et qui sont très indulgents avec les héroïnes immatures.
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