Interview de J. Arden



Cette semaine, le staff vous propose une interview de J. Arden, l'auteur de la saga Les sentinelles de l'ombre, parue aux éditions Rebelle. C'est l'occasion d'en apprendre plus sur cette jeune Toulousaine, mais aussi sur ses passions et ses projets. Bonne humeur garantie !



Bonjour J. (parenthèse hors interview, ça fait très James Bond ^^)

(En fait, c’est plutôt un clin d’œil à Men In Black xD J’ai toujours rêvé d’avoir le rôle de Will Smith mdr)

Pour commencer, quelques questions sérieuses.

Peux-tu te présenter pour nos lecteurs qui ne te connaissent pas encore ?

J(ulie) Arden, 27 ans, auteur de la série d’urban fantasy Les sentinelles de l’ombre dont le tome 1, Le Souffle de la Lune, et le tome 2, La Voie du Sang, sont parus chez Rebelle Éditions. Fan de pop-culture, de séries en tous genres (de Game of Thrones à Supernatural en passant par l’incontournable Sherlock), de films de super-héros, notamment (au moment où je réponds, j’ai d’ailleurs mis en pause X-Men : Le commencement), de l’humour so british, de Karen Marie Moning (de Barrons entre autres choses…).


Parle-nous de tes projets en cours ou futurs.

Je suis actuellement en train d’écrire le tome 3 des aventures d’Anya, l’héroïne des Sentinelles de l’ombre. Il s’intitule Les Chaînes du Passé. La sortie est normalement (je dis bien normalement Wink) prévue pour la fin d’année 2014. Tout dépendra de mon avancée qui dépend, elle, de mon temps (je bosse à côté mais, ô joie, j’ai des vacances qui arrivent) et également de la difficulté de ce tome en lui-même. Plus on avance dans la série, plus l’intrigue s’assombrit. Cette impression s’est apparemment vérifiée auprès des lecteurs qui ont lu le tome 2. Qui plus est, je me suis lancée pas mal de défis de construction dans ce tome (alternance de points de vue, flashbacks) et je veux prendre mon temps pour révéler des choses que, je crois, le lecteur attend depuis le tout début. Sachant que la série devrait compter cinq tomes, le tome 3 annonce une sorte de tournant. L’essentiel est en place, mais une sacrée évolution se profile à l’horizon.


Concernant mes autres projets en cours, je suis du genre monotâche. Il n’y a donc qu’Anya qui m’occupe à l’heure où je vous réponds. Je ne peux écrire qu’en étant officiellement (officieusement c’est une autre histoire et j’y reviens un peu après) que dans la tête d’un seul personnage. Officieusement, donc, j’ai des bribes d’autres projets qui me viennent, parfois même des scènes entières. Cela me permet de glisser sur la question des projets futurs. J’ai écrit le tome 1 d’une série victorienne steampunk dont le tome 2 me titille pas mal… J’ai au moins trois autres projets entamés mais repoussés par manque de temps. J’en ai un qui dérive d’Anya et qui s’invite très souvent dans ma tête ces temps-ci. Disons-le, il s’agira d’un spin-off, mais nous verrons en temps voulu où ça me mènera. « Ne jamais mettre la charrue avant les bœufs », me disait ma maman. Et il faut toujours écouter sa maman :)

Tes prochains romans seront-ils encore de l'urban fantasy ou penses-tu explorer d'autres genres ?

J’adore l’urban fantasy, surtout le fait qu’on puisse y trouver des héroïnes brutes de décoffrage comme on les aime. Ce mix du quotidien et du surnaturel donne une belle matière, il n’y a pas à dire. Dans ce genre-là, j’ai un autre projet en cours (à peine effleuré) et le potentiel spin-off d’Anya (bien effleuré lol). Mais je sais d’avance que je vais d’abord terminer les sentinelles et passer à mon projet victorien steampunk qui est le plus abouti de tous avec ce tome 1 écrit entre 2012 et 2013. Il devrait m’occuper un moment, car je prévois 5 à 6 tomes. Il est aussi plus copieux en termes d’univers et d’écriture. Plus généralement, je n’ai pas envie de me répéter, de donner au lecteur l’impression que je fais la même chose, alors je vais aller explorer d’autres univers qui me tentent tout autant (fantastique victorien, fantasy, romance aussi…) avant de revenir à mes premières amours avec, je l’espère, des héroïnes bien différentes d’Anya, et donc un style propre à chacune d’elles.


Quels auteurs t'inspirent le plus, et en quoi influencent-ils ton travail ?

J’ai quelques auteurs phares à citer que j’adore lire, mais de là à dire qu’ils influencent mon travail, je ne pense pas avoir suffisamment de recul pour le voir, car si influence il y a, elle est totalement inconsciente. J’essaie vraiment de construire mes histoires comme ça me plaît en tenant compte de ce qui doit être dit et de ce que mes héros doivent vivre, pas de ce qui est attendu ou de ce qui serait souhaitable pour coller au genre de l’urban fantasy. Concernant mon style, je progresse en termes de cadence, mais je ne m’éloigne pas tant que ça de la voix que j’ai attribuée à Anya. La voix qu’elle s’est attribuée elle-même, je devrais plutôt dire ^^
Revenons-en aux moutons qui possèdent, selon moi, une très belle laine xD En premier, évidemment, Karen Marie Moning que je suis depuis des années, notamment pour sa génialissime série Les chroniques de MacKayla Lane. THE série à découvrir en urban fantasy pour l'écriture addictive au possible, l'univers très sombre et sensuel, la relation entre Barrons (<3) et Mac d’une intensité jamais égalée à mon sens.


Viennent ensuite et en vrac : Lilith Saintcrow (Danny Valentine) pour ses univers d’une richesse extraordinaire, Nalini Singh pour sa plume visuelle et Kresley Cole pour ses ombres de la nuit, une saga pleine de peps et sexy à souhait. Enfin, dans des genres complètement différents, Diana Gabaldon (Outlander ou Le Cercle de pierre) pour son couple ultra-attachant Jamie et Claire, La Trilogie de l’Empire de Raymond E. Feist et Janny Wurts (un chef-d’œuvre de fantasy). Tous ces auteurs me passionnent pour diverses raisons (plume, univers, qualité du scénario, personnages consistants, grain de folie) et s’ils devaient m’influencer, ce serait en me confortant dans l’idée que lorsqu’on écrit, il faut oser, se lâcher, ne rien retenir, mais surtout, surtout, se relire encore et encore, peaufiner jusqu’à assumer pleinement son texte.

Ta saga Les sentinelles de l'ombre rencontre un joli succès. Quel est ton personnage préféré ?

Aïe, on me l’a déjà posée celle-là xD J’ai l’impression qu’en répondant encore une fois la même chose, mes autres personnages vont braquer sur moi le regard le plus assassin que j’ai pu leur attribuer… Ça va piquer, mais tant pis ! Mon personnage préféré, c’est Aidan Livingston, la seule sentinelle que nous ayons rencontrée jusqu’ici et qui se trouve également être un vampire âgé de plusieurs siècles. Comment ne pas aimer le détester ? Il est extrêmement imbu de lui-même, mais il a de quoi l’être, je trouve, tant il est puissant (bien plus qu’il ne le montre, en plus) et séduisant… Dans ma tête, il est un peu flou, mais ce qui ne l’est pas rend très bien mdr Je l’aime particulièrement, car c’est le personnage qui s’est imposé de lui-même au fil de la série. Il ne devait pas avoir cette importance dans le scénario principal, ni même s’engager dans une relation avec Anya. Hélas, tout a dérapé comme vous pouvez le voir dans les deux tomes déjà parus.


Je ne me plains pas qu’il ait pris les commandes de sa propre existence, de ses dialogues aussi (il me fait rougir les trois-quarts du temps). Je l’admire, en fait, parce qu’il dit ce qu’il pense, qu’il a beaucoup de recul sur tout et qu’il ne dévie pas du but qu’il s’est fixé. On en sait peu sur lui, j’aimerais en dévoiler plus à chaque fois, mais ce n’est jamais le bon moment pour dire toutes ces choses. J’ignore si je pourrai un jour tout confesser de sa vie, c’est assez déroutant de ne pas pouvoir planifier les révélations le concernant. Plusieurs fois j’ai dû modifier des dialogues entiers, car ça ne collait pas à ce que Monsieur voulait dire. Je crois qu’on a tous un personnage comme ça qui nous rappelle que nous ne sommes pas les seuls maîtres à bord :)

Tu as des rituels d'écriture ? et Qu'est-ce qui te plaît le plus dans le processus d'écriture ?

Je n’ai pas vraiment de rituel, en fait. Je dois être au calme, un calme sonore (dur à trouver en ville) et un calme mental (dur à trouver tout court). J’aime m’asseoir en tailleur sur mon canapé avec de la musique classique en fond (les paroles me déstabilisent) et l’ordinateur sur les genoux. Ce qui est peut-être un peu original dans mon rituel d’écriture, c’est la préparation en amont. Je projette énormément les scènes, je les laisse émerger. Je me parle à moi-même lol Souvent, quand j’ai atteint mon rythme de croisière sur un projet, je laisse reposer un chapitre deux jours avant d’attaquer le suivant. Je ne me lance que quand je me sens prête ou quand je sais que j’ai déjà suffisamment de matière pour laisser venir le reste. Sinon, ce que j’aime dans le processus d’écriture, c’est un peu maso, mais c’est me faire violence et me dire que ça en valait la peine quand je suis satisfaite du résultat. Chercher le juste mot, la juste émotion, trouver l’accord parfait en quelque sorte. Ma bêta lectrice parle d’accouchement pour chacun de mes livres, l’image est on ne peut plus parlante. Je peux pleurer en écrivant une scène, je peux même grogner quand elle me donne du fil à retordre. Je râle beaucoup, je ferme l’ordi, mais je n’abandonne jamais.
 

D'où te vient cet intérêt pour la mythologie égyptienne ? Est-ce une passion ?

Ça remonte à la sixième ou cinquième quand on suivait les cours de mythologie au collège. C’est ce qui m’a fait aimer l’Histoire. Je n’avais que des 20 dans cette matière à cette époque. On peut dire que je suis passionnée, oui. Passionnée par ces légendes qui se tissent autour des dieux et qui les rendent très humains dans leurs désirs ou leur cruauté. Je trouve très intéressant d’imaginer des civilisations entières (pas seulement la civilisation égyptienne) prêter à leurs divinités autant de défauts humains avec le côté céleste en prime et ce grandiose qu’on imagine pour des entités aussi puissantes. Ce n’est pas que la mythologie égyptienne qui me fascine, mais si je l’ai choisie en particulier pour écrire l’histoire d’Anya, c’est parce que j’avais envie de revisiter les origines des vampires et des loups. Rien ne me satisfaisait dans ce que j’avais pu lire à ce sujet. En réalité, j’avais plus vu de films ou séries que lu de livres sur le sujet quand je me suis mise à écrire. Je n’ai pas vraiment fait de recherches sur ces deux créatures, j’ai utilisé le bagage imparfait de la culture de masse et je me suis posé la question à l’origine des sentinelles : « Pourquoi les vampires et les loups se détestent-ils autant ? ». Et là, je voulais quelque chose de sombre, de sanglant, de mystique aussi. Les Égyptiens ont toujours eu une vision assez charnelle du passage de la vie à la mort avec, notamment, le processus de momification. Il y a une dimension brutale dans cet intérêt pour l’au-delà et pour la vie éternelle. J’ai fait en sorte qu’un dieu les ait satisfaits d’une manière ou d’une autre. Après, comme je ne cesse de le répéter, pas besoin d’être calé en mythologie égyptienne pour me lire, je prends d’énormes libertés. J’ai choisi de m’inspirer, pas d’utiliser fidèlement ce qui est déjà connu.


Les couvertures de tes romans sont magnifiques. Est-ce comme ça que tu voyais Anya, l'héroïne, ou est-ce une proposition de la graphiste, Miesis ?

Ah, je suis très contente qu’on me pose cette question ! Alors, merci ! Quand on travaille sur une couverture, on apprend vite qu’elle n’est qu’une métaphore du livre. Il faut faire une croix sur pas mal de choses superflues qu’on voudrait absolument mettre dedans. Mais, grâce à Miesis, je n’ai fait que quelques rares concessions et je n’ai eu à en faire aucune concernant le choix du modèle utilisé pour représenter Anya. Elle m’a demandé de lui décrire Anya physiquement. Je lui ai dit que c’était une fille jolie mais sans prétention avec une peau pâle et de beaux cheveux d’un blond vénitien foncé tirant sur le roux. Pour le reste, elle voulait surtout savoir quel était son état d’esprit. C’était ce qui allait déterminer son choix en termes de position. Il était clair que dans le tome 1, elle devait répondre à l’appel de la lune autant qu’elle le subissait. Il y avait cette dimension poétique à laquelle je tenais absolument. Première proposition de Miesis et ce fut un oui franc de ma part, même si les cheveux n’étaient pas ce qu’ils sont à l’heure actuelle et les vêtements non plus. Si je chipotais, je dirais qu’Anya est plus en formes que le modèle choisi, mais vraiment ce serait chipoter. Concernant la couverture du tome 2, même procédé et première proposition également approuvée dans la foulée. Je suis assez conquise par ce modèle dont on voit le regard déterminé. Sa position l’est tout autant pour ne rien gâcher. C’est exactement cette attitude protectrice que je souhaitais mettre en avant. J’ai été grandement surprise, par contre, par le fait que je retrouvais certains détails du visage que je prête à Anya : cette moue boudeuse, notamment.

Imagines-tu tes personnages sous les traits de célébrités ?

Mes personnages sont souvent assez flous dans ma tête. Ils ne sont jamais totalement dessinés. Ils possèdent tous des détails physiques qui interpellent et j’ai tendance à me concentrer sur eux, car ils m’aident à retranscrire leur personnalité et leurs humeurs. Ceci dit, je plaide coupable pour un personnage du tome 1 : Kyle. Pour son regard, je me suis inspirée des yeux de Jensen Ackles (Dean Winchester dans Supernatural) qui a été mon premier fantasme d’adolescente lol.


Concernant le tome 2, Göran, un vampire particulier que l’on rencontre, ressemble à s’y méprendre à Michael Fassbender. Mea culpa, j’étais dans une période « je revisionne les X-Men » et Michael Fassbender en jeune Magneto…………..


Quelques questions beaucoup moins sérieuses… Dites-nous tout, le peuple veut savoir !

Es-tu plutôt du genre à garder le meilleur pour la fin ou, au contraire, à te tourner vers ce qui te plaît le plus en premier et traîner la patte ensuite ?

Certaines scènes me plaisent plus que d’autres dans mes livres. Certaines sont aussi plus dures à écrire que d’autres. Mais je crois que globalement je les apprécie toutes du début à la fin. Je trouve toujours quelque chose qui suscite mon intérêt. Ça peut être retrouver des personnages, me faire plaisir en descriptions, en action ou en jolis frissons ;)Il y a quantité de scènes possibles et si j’ai le sentiment qu’elles se déroulent logiquement, alors tout va bien dans le meilleur des mondes. Il peut néanmoins m’arriver de traîner la patte, donc, sur certaines scènes parce qu’elles sont plus complexes à écrire, mais rien d’insurmontable. Tout finit par rentrer dans l’ordre et elles gardent une saveur particulière car elles m’auront fait suer, les coquines !

Thé ou café ? Avec pâtisseries bien grasses ou petits biscuits raffinés ?

Les deux, en fait. Le café pour quand je me mets devant le clavier (ma Dolce Gusto est ma meilleure amie !), puis en cours de route je passe au thé (selon mon humeur, aux fruits rouges ou Earl Grey…). Pour l’accompagnement, des cochonneries, assurément lol Les M&M’s arrivent en tête. Malédiction ! Si vous connaissez un auteur qui arrive à écrire en mangeant des galettes de riz, donnez-moi son nom que je le maudisse !


Les hommes, tu les préfères en kilt ou avec l'accent anglais ?

Comment ça ?!? On ne peut pas avoir les deux ? Allez, je dirais le kilt à cause du Jamie de Diana Gabaldon xD L’accent écossais et le doux surnom de Sassenach peuvent largement compenser l’accent anglais ^^


Plutôt filmovore ou sérivore ? Quels sont tes derniers coups de cœur film et/ou série ?

Plutôt sérivore, j’essaie un peu tout ce qui sort, ce qui me rend difficile. Concernant les films, je me refais surtout les sagas cultes :) Je suis en train de me triturer le cerveau en réfléchissant à ce que j’ai vu récemment. Pas beaucoup de coups de cœur depuis quelque temps, malheureusement… Beaucoup de bof, en fait. En films, je dirais 12 years of slave pour le jeu des acteurs et Les Brasiers de la colère avec le fabuleux Christian Bale. En séries, la bonne surprise horrifique, Penny Dreadful, et, évidemment, Game of Thrones dont je ne rate aucun épisode.
Et Outlander, un coup de cœur absolu.

Trop c'est trop, tu pars vivre pour toujours sur une île déserte. Quel livre ou saga emmènes-tu dans tes bagages ? (un seul !)

Les chroniques de MacKayla Lane de Karen Marie Moning. Sans hésitation, en fait, même si c’est mesquin de votre part de me forcer à choisir ! Pour la peine, je vous bouderai après la fin de l’interview.


Et d'ailleurs, tu peux embarquer dans ton exil une personne de ton choix, humain ou personnage de fiction. Qui emmènes-tu et pourquoi ?

Haha, faciiiiiiiiiiiile ! Barrons ! Parce que c’est Barrons ! Ce mot se suffit à lui-même. Pour vous convaincre, si ce n’est pas déjà fait, ouvrez les Fièvre et laissez Barrons vous expliquer pourquoi respirer est superflu quand il est là *soupir énamouré*


Si tu étais un homme, qui voudrais-tu être et pourquoi ?

J’aime être une femme, ça rend les hommes plus intéressants que vu de l’intérieur lol


Et si tu étais un personnage de littérature, tu voudrais être lequel ?

Non vraiment, vous me tendez des perches là… Deux personnages me viennent immédiatement en tête, en fait. Avant, j’aurais dit sans hésiter MacKayla Lane. Mais depuis que j’ai découvert Le Cercle de pierre, je dirais plus Claire. Je me suis sentie très proche d’elle tout au long de la lecture. C’est rare de rencontrer des personnages féminins aussi matures dont il est inutile de grossir le trait. Qui plus est, elle vit des aventures extraordinaires et l’amour qu’elle partage avec Jamie a de quoi rendre jalouse plus d’une femme.


La Fée Danstesrêves te propose un super-pouvoir au choix (à condition bien sûr de devoir mettre ta culotte par dessus ton collant chaque fois que tu veux l'utiliser). Tu choisis lequel ?

Pour rebondir sur la question précédente, je dirais celui de voyager dans les univers des livres que j’ai aimés. De les visiter concrètement, même si les découvrir par la lecture est déjà un super-pouvoir en soi. Sinon, être un seigneur du temps comme Docteur Who, ça serait pas mal :) Oh et concernant la culotte, tant qu’à faire, voyons les choses en grand, je préfèrerais le costume de Jennifer Garner dans Elektra *_*

Une question cruciale et d'une grande importance pour l'humanité : as-tu bien supporté la vision de Superman sans son slip rouge dans Man of Steel ?

Vous voyez ! La culotte, c’est surfait, c’est Henry qui le dit ! Plus sérieusement, avec ou sans slip rouge, le résultat est très… hypnotisant.


Merci d'avoir répondu à nos questions.



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Saga Les sentinelles de l'ombre :
  1. Le souffle de la lune
  2. La voie du sang

Page officielle de l'auteur.
J. Arden sur le site des Éditions Rebelle.

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