Les Wilde, Tome 1 : La coqueluche de ces dames d’Eloisa James



Les Wilde
Tome 1 : La coqueluche de ces dames

de Eloisa James

Éditions J'ai lu

Sortie le 7 novembre 2018
Format poche / 372 pages / 7,40 €


Présentation de l'éditeur :

Londres est en effervescence – du moins la gent féminine. Lord Alaric, grand explorateur et auteur prolifique de romans épiques, rentre au pays après bien des aventures. N’ayant pas la moindre idée du succès phénoménal rencontré par ses œuvres, il est le premier surpris d’être accueilli avec une telle ferveur, voire franchement agacé par l’adulation que lui vouent ces dames. À l’exception de Mlle Willa Ffynche, qui n’a que dédain pour sa célébrité et ses histoires rocambolesques. Et, bien sûr, il n’y a rien de plus excitant qu’une femme qui se dérobe...


L'avis de Becca :


Eloisa James est l’une de mes autrices de romance historique préférées. J’aime son style, son humour, ses personnages souvent loufoques. Il est rare que je ne me régale pas avec une de ses histoires. Malheureusement, cette fois-ci, c’est le cas. Alors, je n’ai pas détesté ce livre, j’ai même beaucoup apprécié certains passages. Ce qui m’a déplu, c’est principalement les personnages principaux, en tout cas au début du livre. Je n’ai pas réussi à m’attacher à eux. Willa, en refusant d’être comme les autres femmes, toutes agglutinées autour d’Alaric, en devient désagréable. Alaric n’est pas non plus parfait. Il a décidé qu’il voulait Willa donc il insiste, même quand elle lui dit clairement qu’elle n’est pas intéressée par ses avances. Le début assez lent du livre a sûrement aussi joué sur mon ressenti. 

Heureusement la deuxième partie est un peu plus animée et Willa et Alaric deviennent plus intéressants. Les sentiments entre eux sont alors plus sincères, même si j’ai eu un peu de mal à y croire au début. 

Ce premier tome introduit la famille Wilde et offre quelques moments amusants, ainsi que des personnages secondaires plus intéressants que le couple principal. Dommage que l’ensemble du livre ne soit pas à la hauteur du style habituel d’Eloisa James.


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