Arrowood
de Mick Finlay
Éditions HarperCollins
Réédition le 13 février 2019
Format poche / 352 pages / 7,90 €
Présentation de l'éditeur :
1895 : Londres a peur. Un tueur terrorise la ville. La police, débordée, arrive à un point de rupture. Tandis que les bourgeois désemparés se tournent vers Sherlock Holmes, dans les quartiers surpeuplés du sud de Londres, les gens s’en remettent à un homme qui méprise Holmes, sa clientèle fortunée et ses méthodes de travail voyeuristes. Cet homme, c’est Arrowood – psychologue autodidacte, ivrogne occasionnel, et détective privé. Quand un homme disparaît mystérieusement, Arrowood et son comparse Barnett se lancent dans une mission de taille : capturer Mr Cream, le malfrat le plus redouté de la ville.
L'avis d'Elaura :
Voici un petit polar victorien fort sympathique, qui joue habilement avec les codes du genre. Ou plutôt, qui s'amuse d'un joli appel du pied aux fans de Sherlock Holmes, puisque le héros, Arrowood, ne le supporte absolument pas. Il le trouve inutile et prétentieux. Lui, préfère enquêter dans les bas-fonds londoniens avec son acolyte, Mr Barnett. Anti-héros par excellence, notre détective est un ivrogne invétéré et fait montre d'une très haute opinion de lui-même. Mais devant le plus grand malfrat de la ville, il va devoir montrer que lui aussi peut être un bon détective.
C’est une lecture intéressante et qui ne manque pas de piment pour qui aime les enquêtes se situant dans l'époque victorienne. Les références à l’œuvre de Conan Doyle sont bel et bien là, mais pas de manière envahissante, ce qui sert plutôt bien le récit. L'intrigue policière se suit avec facilité et plaisir, le seul petit bémol étant le manque d'informations sur le contexte. En effet, il est toujours souhaitable, et même fort agréable pour les amateurs du genre, de lire un certain nombre d'informations sur les conditions de vie de la population dans les quartiers où se situe l'intrigue, cela enrichit le récit et permet au lecteur de s’immerger plus facilement dans l'histoire. Malgré cela, Arrowood reste un moment de lecture agréable.
L'avis d'Elaura :
Voici un petit polar victorien fort sympathique, qui joue habilement avec les codes du genre. Ou plutôt, qui s'amuse d'un joli appel du pied aux fans de Sherlock Holmes, puisque le héros, Arrowood, ne le supporte absolument pas. Il le trouve inutile et prétentieux. Lui, préfère enquêter dans les bas-fonds londoniens avec son acolyte, Mr Barnett. Anti-héros par excellence, notre détective est un ivrogne invétéré et fait montre d'une très haute opinion de lui-même. Mais devant le plus grand malfrat de la ville, il va devoir montrer que lui aussi peut être un bon détective.
C’est une lecture intéressante et qui ne manque pas de piment pour qui aime les enquêtes se situant dans l'époque victorienne. Les références à l’œuvre de Conan Doyle sont bel et bien là, mais pas de manière envahissante, ce qui sert plutôt bien le récit. L'intrigue policière se suit avec facilité et plaisir, le seul petit bémol étant le manque d'informations sur le contexte. En effet, il est toujours souhaitable, et même fort agréable pour les amateurs du genre, de lire un certain nombre d'informations sur les conditions de vie de la population dans les quartiers où se situe l'intrigue, cela enrichit le récit et permet au lecteur de s’immerger plus facilement dans l'histoire. Malgré cela, Arrowood reste un moment de lecture agréable.
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