La Confrérie de la Dague Noire, Tome 14 : L'amant sauvage


La Confrérie de la dague noire, 
Tome 14 : L'Amant sauvage
de J.R. Ward

Éditions Milady

Sortie le 22 septembre 2017
Format poche / 680 pages / Prix 9,90 €


Présentation de l'éditeur :

Le couple préféré des lecteurs de la Confrérie est de retour...
Plus rien n’est comme avant pour la Confrérie. La Société des éradiqueurs est plus puissante que jamais, mettant à profit les faiblesses humaines pour acquérir toujours davantage de moyens, d’armes et de pouvoir. Alors que la Confrérie s’apprête à les affronter, la bataille a déjà commencé pour l’un des frères.
Rhage a échappé de peu à la mort, et le sentiment d’insécurité qui l’envahit depuis le terrifie. À l’instant même où il a le plus besoin d’elle, Mary semble s’éloigner, accaparée par sa propre quête, et la seule chose qui pourrait bien les réunir à nouveau va mettre leur monde sens dessus dessous...

L'avis d'Elaura :

L’on aurait pu croire qu’au bout de 14 tomes, l’histoire des frères de la Confrérie de la dague noire tournerait un peu en rond, qu’on se lasserait de voir évoluer toujours les mêmes personnages (même si des petits nouveaux arrivent ici et là), et que notre attachement finirait par diminuer. Au final, c’est tout le contraire. Le plaisir d’avoir des nouvelles de nos guerriers est toujours aussi vivace.

Ce quatorzième tome, consacré à Rhage et Marie, est un condensé d’émotions pures dont les près de 600 pages furent avalées bien trop rapidement. Cela est peut-être dû au caractère si particulier de notre héros, je l’avoue à demi-mot, Rhage est certainement mon frère préféré. Peut-être que le thème du roman, qui tourne principalement autour de la filiation, me touche particulièrement. Dans tous les cas, cet opus est encore une fois une grande réussite. L'humour est toujours présent, mais distillé avec parcimonie, les scènes sensuelles sont moins nombreuses (mais n’en sont pas moins belles) et laissent plus de place à une introspection touchante de nos personnages. Bref, un dosage parfait, qui prouve qu’encore une fois, après quelques tomes en demi-teinte, J.R.Ward est capable de nous offrir une petite pépite, qui nous fait ressentir les mêmes émois qu’au début de la saga. Des tomes comme celui-là, on en veut encore des tas.

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