La caresse de la mort
de Andrea Ellison
Editions Harlequin
Sortie le 1er janvier 1970
Format poche / 480 pages / Prix 7,50 €
Présentation de l'éditeur :
Depuis sa confrontation avec le tueur en série qui se faisait appeler le Prétendant, le lieutenant Taylor Jackson est en état de choc. Atteinte d’une balle en pleine tête, elle s’en est sortie de peu mais reste depuis privée de l’usage de la parole. Recluse dans son silence, hantée par l’horreur qu’elle a vécue, elle est assaillie de cauchemars toujours plus terrifiants.
Aussi, lorsque son ami Memphis Highsmythe lui propose de venir se reposer quelque temps dans son château en Ecosse, Taylor accepte, même si son fiancé Baldwin ne voit pas cette invitation d’un très bon œil. Alors que la beauté romantique de la demeure et les attentions de Memphis lui font presque oublier ses malheurs, une tempête de neige isole soudain le domaine du reste du monde, faisant à nouveau resurgir ses troubles anxieux. Très vite, le château se révèle une prison menaçante où les hallucinations prennent le pas sur la réalité. Taylor a alors la dérangeante impression qu’on lui en veut. Reste à savoir de qui, ou de quoi, il s’agit…
A propos de l'auteur :
Dans ce septième roman où l’on retrouve le lieutenant Taylor Jackson, Andrea Ellison fait une nouvelle fois preuve d’un art consommé du suspense et s’impose comme une spécialiste du thriller. Avec La caresse de la mort, elle nous offre un roman palpitant, sombre et violent, au rythme haletant et intense.
L'avis de Chani
L'avis de Chani
Ce roman est le septième tome des aventures
de Taylor Jackson. Je ne le savais pas, mais, heureusement, on peut le lire
sans avoir lu les précédents, même si je me doute bien que c’eût été un plus
pour la bonne appropriation de l’histoire et de la psychologie des personnages.
Cependant, les rappels des épisodes précédents sont suffisants pour une bonne
compréhension globale des évènements ayant eu lieu précédemment.
J’ai beaucoup aimé ce roman, entre thriller
et analyse psychologique du personnage principal, en proie à un profond stress
post-traumatique. La première partie plante le décor et appuie sur la détresse
psychologique de Taylor, la seconde jouant sur le doute semé quant à l’état de
la jeune femme et ce qu’elle voit, ou croit voir, dans son château en Écosse.
L’ambiance est pesante, l’angoisse monte, le suspense est maîtrisé et
l’ensemble se lit très facilement. J’ai beaucoup apprécié la plume de l’auteur
et le personnage de Taylor, tant et si bien que je vais essayer de trouver les
tomes précédents pour découvrir l’intégralité de la série.
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