Les Sentinelles de l'Ombre
Tome 1 : Le souffle de la lune
de J. Arden
Illustration par Miesis / Sylvie Veyres
Éditions Rebelle
Collection Lune de Sang
Sortie le 30 octobre 2013
Format brochĂ© / 500 pages / Prix 19,90 €
Tome 1 : Le souffle de la lune
de J. Arden
Illustration par Miesis / Sylvie Veyres
Éditions Rebelle
Collection Lune de Sang
Sortie le 30 octobre 2013
Format brochĂ© / 500 pages / Prix 19,90 €
Présentation de l'éditeur :
Tout allait bien dans ma vie jusqu'Ă ce que je me transforme en loup devant une assemblĂ©e de vampires. Encore qu'il s'agit lĂ d'un euphĂ©misme, du genre capable de vous Ă©touffer en moins de deux. Car s'il est de notoriĂ©tĂ© publique que les crocs et les poils ne font pas bon mĂ©nage, c'est encore pire quand vous Ăªtes la fille de la reine du clan vampirique le plus rigide qui soit. Et je parle d'expĂ©rience... Bref. Munie d'un aller simple pour la meute paternelle, me voici partie pour San Francisco, Ă la dĂ©couverte d'un monde oĂ¹ vampires et loups se cĂ´toient. Appelons plutĂ´t ça de la cohabitation forcĂ©e. Personne n'est prĂªt Ă voir sa vie chamboulĂ©e, et quand l'amour et des dieux censĂ©s avoir disparu s'en mĂªlent, laisser la bĂªte me dĂ©vorer de l'intĂ©rieur devient de plus en plus tentant...
L'avis de Chani
Anya, fille de la reine des vampires, est en rĂ©alitĂ© une hybride. Et son cĂ´tĂ© loup-garou ne trouve rien de mieux Ă faire que de se manifester en plein milieu d’une assemblĂ©e de morts-vivants, ce qui n’est pas du meilleur effet. La jeune femme est contrainte de quitter son clan et de rejoindre son père, qu’elle ne connaĂ®t pas, et sa meute. Le karma sans doute… Anya va Ăªtre obligĂ©e de faire contre mauvaise fortune bon cÅ“ur Ă San Francisco. Si, finalement, les relations avec son père vont s’avĂ©rer moins difficiles que prĂ©vu, la jeune femme va faire des rencontres loin de lui simplifier la vie (toujours le karma). Sans compter que la curiositĂ© de la jeune fille sur ses origines vont l’amener oĂ¹ elle ne s’attendait pas…
Ă€ ma droite les ingrĂ©dients d’un bon roman d’urban fantasy, Ă ma gauche la touche personnelle de l’auteur. Mixez les deux et vous obtiendrez un livre prometteur, qui m’a fait passer un très agrĂ©able moment de lecture, mais non exempt de dĂ©fauts (eh oui, un premier tome ne peut pas non plus Ăªtre parfait quand mĂªme, non mais !). Le principal reproche que je ferais, c’est que la première moitiĂ© du roman n’a pas vraiment de but. Le lecteur suit Anya dans ses pĂ©rĂ©grinations, mais sans bien savoir oĂ¹ l’auteur veut en venir. Cette partie est utile car elle permet de faire connaissance avec le background mis en place par J. Arden, ainsi qu’avec ses personnages, mais je l’ai trouvĂ©e un poil trop longue, j’aurais aimĂ© voir le dĂ©but de l’intrigue en elle-mĂªme pointer le bout de son nez plus tĂ´t. Le second point qui m’a dĂ©plu c’est le caractère de l’hĂ©roĂ¯ne au dĂ©part du livre : elle a pris un gros bol de confiance au petit-dĂ©jeuner et sa suffisance est juste insupportable. Heureusement, l’auteur a la bonne idĂ©e de faire Ă©voluer son caractère au fil de l’histoire, la rendant ainsi plus sympathique et calmant ma furieuse envie de faire marcher la machine Ă taloches. Anya change en dĂ©couvrant la rĂ©alitĂ© des choses et rĂ©vise son jugement. Et c’est tant mieux, parce qu’Ă cĂ´tĂ© de ça il y a plutĂ´t de bonnes idĂ©es, J.Arden, tout en respectant les codes du genre, sort des sentiers battus et propose une intrigue originale, mais, car il y a toujours un « mais », mĂªme dans les destins les plus heureux, j’avoue avoir grincĂ© des dents en voyant venir le triangle amoureux gros comme une maison. Cette configuration a Ă©tĂ© usĂ©e jusqu’Ă la corde, et j’attendais autre chose sur ce point, mais ce n’est qu’un avis personnel, je sais que nombre de lectrices en sont friandes.
Pour rĂ©sumer, Le souffle de la lune, premier roman de J. Arden, et je suis suffisamment accrochĂ©e pour faire un crying call sur le tome Ă suivre, en pensant avoir de bonnes chances d’Ăªtre gagnante !
L'avis de Chani
Anya, fille de la reine des vampires, est en rĂ©alitĂ© une hybride. Et son cĂ´tĂ© loup-garou ne trouve rien de mieux Ă faire que de se manifester en plein milieu d’une assemblĂ©e de morts-vivants, ce qui n’est pas du meilleur effet. La jeune femme est contrainte de quitter son clan et de rejoindre son père, qu’elle ne connaĂ®t pas, et sa meute. Le karma sans doute… Anya va Ăªtre obligĂ©e de faire contre mauvaise fortune bon cÅ“ur Ă San Francisco. Si, finalement, les relations avec son père vont s’avĂ©rer moins difficiles que prĂ©vu, la jeune femme va faire des rencontres loin de lui simplifier la vie (toujours le karma). Sans compter que la curiositĂ© de la jeune fille sur ses origines vont l’amener oĂ¹ elle ne s’attendait pas…
Ă€ ma droite les ingrĂ©dients d’un bon roman d’urban fantasy, Ă ma gauche la touche personnelle de l’auteur. Mixez les deux et vous obtiendrez un livre prometteur, qui m’a fait passer un très agrĂ©able moment de lecture, mais non exempt de dĂ©fauts (eh oui, un premier tome ne peut pas non plus Ăªtre parfait quand mĂªme, non mais !). Le principal reproche que je ferais, c’est que la première moitiĂ© du roman n’a pas vraiment de but. Le lecteur suit Anya dans ses pĂ©rĂ©grinations, mais sans bien savoir oĂ¹ l’auteur veut en venir. Cette partie est utile car elle permet de faire connaissance avec le background mis en place par J. Arden, ainsi qu’avec ses personnages, mais je l’ai trouvĂ©e un poil trop longue, j’aurais aimĂ© voir le dĂ©but de l’intrigue en elle-mĂªme pointer le bout de son nez plus tĂ´t. Le second point qui m’a dĂ©plu c’est le caractère de l’hĂ©roĂ¯ne au dĂ©part du livre : elle a pris un gros bol de confiance au petit-dĂ©jeuner et sa suffisance est juste insupportable. Heureusement, l’auteur a la bonne idĂ©e de faire Ă©voluer son caractère au fil de l’histoire, la rendant ainsi plus sympathique et calmant ma furieuse envie de faire marcher la machine Ă taloches. Anya change en dĂ©couvrant la rĂ©alitĂ© des choses et rĂ©vise son jugement. Et c’est tant mieux, parce qu’Ă cĂ´tĂ© de ça il y a plutĂ´t de bonnes idĂ©es, J.Arden, tout en respectant les codes du genre, sort des sentiers battus et propose une intrigue originale, mais, car il y a toujours un « mais », mĂªme dans les destins les plus heureux, j’avoue avoir grincĂ© des dents en voyant venir le triangle amoureux gros comme une maison. Cette configuration a Ă©tĂ© usĂ©e jusqu’Ă la corde, et j’attendais autre chose sur ce point, mais ce n’est qu’un avis personnel, je sais que nombre de lectrices en sont friandes.
Pour rĂ©sumer, Le souffle de la lune, premier roman de J. Arden, et je suis suffisamment accrochĂ©e pour faire un crying call sur le tome Ă suivre, en pensant avoir de bonnes chances d’Ăªtre gagnante !
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